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Avant d’étudier les possibilités d’avenir pour les statues présentes dans l’espace public liées aux périodes esclavagistes et coloniales, il s’agit de comprendre ce qu’est l’objet de statue en lui-même et ce qu’il représente. La multiplicité des aspects sous-jacents fait de la statue un objet non-identifié, responsable de la formation d’une controverse.
Avant d’étudier les possibilités d’avenir pour les statues présentes dans l’espace public liées aux périodes esclavagistes et coloniales, il s’agit de comprendre ce qu’est l’objet de statue en lui-même et ce qu’il représente. La multiplicité des aspects sous-jacents fait de la statue un objet non-identifié, responsable de la formation d’une controverse.
Avant d’étudier les possibilités d’avenir pour les statues présentes dans l’espace public liées aux périodes esclavagistes et coloniales, il s’agit de comprendre ce qu’est l’objet de statue en lui-même et ce qu’il représente. La multiplicité des aspects sous-jacents fait de la statue un objet non-identifié, responsable de la formation d’une controverse.
Avant d’étudier les possibilités d’avenir pour les statues présentes dans l’espace public liées aux périodes esclavagistes et coloniales, il s’agit de comprendre ce qu’est l’objet de statue en lui-même et ce qu’il représente. La multiplicité des aspects sous-jacents fait de la statue un objet non-identifié, responsable de la formation d’une controverse.
QUE FAIT-on de CES STATUES ?
Au regard de la nature de l’objet statue et des différentes contestations cristallisées, se pose la question du devenir du parc statuaire. Pour mieux cerner les différents futurs possibles de ces statues contestées, il est d’abord nécessaire de clarifier les enjeux relatifs à l'aménagement de l’espace public en lien avec le traitement de la mémoire de l’esclavage et de la colonisation.
Au-delà de la gestion du patrimoine public, quelques pistes sont proposées en réponse à la problématique de l’avenir des statues. Outre la conservation accompagnée d’éléments explicatifs proposée par les uns ou le retrait vers des lieux mémoriels plus neutres comme les espaces muséaux revendiqués par les autres, des pistes alternatives sont explorées dans la modification du sens des monuments d’origine, notamment par le biais de l’art.
Partagés entre mission municipale ou consultation démocratique, les acteurs envisagent différemment la résolution de la controverse. L’absence de méthode scientifique permettant d’uniformiser le traitement du parc statuaire discuté, oblige, pour l’instant, à traiter, au cas par cas, le devenir des monuments objets de discordes. Dépassant la question du parc statuaire, s’articule celle de la politique mémorielle liée à l’esclavage et la colonisation ; les réparations économiques et juridiques allant plus loin que l’aspect symbolique des statues présentes dans l’espace public, ouvrant davantage les enjeux de la controverse.
Que fait-on de ces statues ?
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